La prise en charge diététique de la femme enceinte doit tenir compte de toutes les modifications et besoins spécifiques liés à la grossesse. L’alimentation doit couvrir, en quantité et en qualité, les nouvelles demandes nutritionnelles à la fois de la future mère, du fœtus et de ses annexes.
Les apports doivent en outre tenir compte des pathologies de la grossesse : surcharge pondérale, nausées, RGO, constipation, hémorroïdes et diabète gestationnel, ou d’une pathologie préexistante telle qu'HTA, insuffisance rénale ou pathologies cardiovasculaires.
Ajoutés à l’effondrement des hormones, le métabolisme de base diminue, l’appareil circulatoire est sujet à davantage de troubles, les déchets sont moins bien éliminés et la motricité du tube digestif diminue.
Ma prise en charge se fait dans mon cabinet à Paris 16 ou en Visio et vise à :
L’OMS estime qu’une femme, en âge de procréer, sur 10 est atteinte d’endométriose et que 7 à 13 % sont concernées par le syndrome des ovaires polykystiques. Ces deux pathologies sont malheureusement sous-diagnostiquées.
La nutrition joue un rôle primordial dans leur prise en charge,
Lors de nos consultations dans mon cabinet à Paris 16 ou en Visio, nous mettrons en place une stratégie alimentaire pour venir à bout des symptômes aux effets délétères tels que les dysménorrhées et les troubles digestifs caractérisant l'endométriose ou encore l'acné, l'hirsutisme ou l'insulinorésitance du syndrome des ovaires polykystiques.